Récipiendaires du prix Geneviève-Amyot 2022

 
 
 

PREMIER PRIX - Sibylle Bolli pour Son visage de ciel parti

Sibylle Bolli naît en 1970, dans la région francophone de la Suisse, où elle vit, écrit et travaille actuellement. Plusieurs poètes dans la famille l’initient très jeune au bonheur de l’écriture. Après une maturité classique, elle obtient une licence en biologie, puis en médecine et se spécialise en psychiatrie et psychothérapie. Elle explore les sentiers d’écriture en prose et en poésie. Elle ne conçoit pas la vie sans écriture ni l’écriture sans la vie.

DEUXIÈME PRIX - Gabrielle Blain-Rochat pour Compter ses dents de lait

Gabrielle Blain-Rochat est née en 1997 dans un hôpital qui n'existe plus. Elle a étudié la création littéraire à l’Université de Montréal. Elle lit et écrit des poèmes. Le fragment, le journal et les écritures de soi l’intéressent aussi beaucoup. Elle vit à Tiohtià:ke - Mooniyang - Montréal, près de l’endroit où le ventre des avions effleure le sommet des églises.

TROISIÈME PRIX - Suzanne Lafrance pour Le bercement du cercle

Étudiante à la maîtrise en création littéraire (UQAM), Suzanne Lafrance a étudié auparavant en linguistique (UQAM), en philosophie et en anthropologie (UdeM). Artiste en arts visuels depuis 2005, elle explore les mêmes motifs par l’écriture et par le dessin : la traversée du commencement, les sensations du corps, la pensée et la parole poétique qui émerge.

MENTION - Corinne Larochelle pour D’outre-mer

Née à Trois-Rivières, Corinne Larochelle a publié plusieurs recueils de poésie dont Femme avec caméra (Noroît, 2011), un roman, Le Parfum de Janis (Cheval d’août, 2015) et un recueil de nouvelles, Pour cœurs appauvris (Cheval d’août, 2019). Elle a également participé au collectif Délier les lieux (Triptyque, 2018) sous la direction de Hector Ruiz. Elle enseigne la littérature au collège de Maisonneuve.


MENTION - Marilyne Busque-Dubois

Diplômée au baccalauréat en littérature, Marilyne Busque-Dubois est l’autrice de Carnet Brûlé (du monde qui crie), ainsi que de Territoire non-organisé du lac Pikauba : une approche poétique, et également cofondatrice du Centre de production en art actuel Les Ateliers, à Baie-Saint-Paul. Son travail poétique, installatif et d’estampe s’inspire d’expériences concrètes du territoire (randonnée, cueillette, voile) pour explorer les réciprocités entre intimité, féminisme et environnement. Ses œuvres ont pu être vues aux Promenades urbaines du Musée national des beaux-arts de Québec, au Livart, dans certains sentiers de la SEPAQ et maisons de la culture, ainsi que dans différentes revues de création tels que Zinc ou l’Écrit Primal.